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Les critères d'attribution des crédits vont-ils changer ?
information fournie par Boursorama avec LabSense•18/06/2020 à 08:30
Les notaires, les agents immobiliers et les particuliers craignent un durcissement des conditions d’attribution des crédits immobiliers. Après plusieurs semaines d’arrêt, le marché immobilier reprend et avec lui, les demandes de prêts. Après une chute vertigineuse en mars et en avril (-19,5% au mois de mars), les demandes de crédits semblent repartir à la hausse. Les banques restent cependant prudentes avant d’évoquer une reprise, attendant d’évaluer et de valider ces demandes de financement. Cette réserve s’explique notamment par les incertitudes persistantes concernant la reprise économique. Décryptage.
iStock-skynesher
Des profils sensibles
Si les banques se veulent rassurantes quant à leurs capacités à accorder des prêts, la crise intervient quelques mois seulement après un premier renforcement des conditions d’octroi de crédits. Fin 2019, le Haut Conseil de Stabilité Financière avait en effet demandé aux institutions financières de durcir les conditions d’attribution des prêts en limitant les crédits à 25 ans et en se tenant à un taux d’endettement strict de 33 %. Cette mesure avait pour objectif de réguler l’octroi des crédits immobiliers dans un contexte de taux historiquement bas. Certains profils d’emprunteurs pouvaient donc déjà, avant la crise, connaitre des difficultés à obtenir un financement. Les risques économiques accrus et les incertitudes concernant la reprise peuvent également peser sur des profils comme ceux des primo-accédants, des artisans, des commerçants, des professionnels de l’hôtellerie, du tourisme, de la restauration. A noter : près de 10 millions de Français ont été mis au chômage partiel durant le confinement et ont subi une perte substantielle de revenus. Selon les experts, les banques devraient continuer de se baser sur le salaire net complet perçu des salariés. Cette situation pourrait toutefois impacter les indépendants et les commerçants ayant connu une baisse importante de revenus. Ces derniers devraient alors considérer le report ou la suspension de leur demande de crédit.
Quid des prêts à 100 % ?
Les banques demeurent en principe ouvertes aux profils des primo-accédants sans apport, à condition que ces derniers présentent un profil d’emprunteur solide (CDI, situation financière saine et stable, etc.). A terme, les établissements financiers devraient conserver un intérêt pour cette clientèle d’emprunteurs jeunes et solvables qui présentent un potentiel de fidélisation exceptionnel. Au cours de leur prêt, les banques pourront en effet leur proposer des assurances et différents produits de placement.
Des délais allongés et des taux à la hausse
Les délais des conditions suspensives d’obtention de crédit sont de 45 jours environ. Ces délais peuvent présenter un obstacle pour les emprunteurs ayant signé une promesse de vente avant le confinement. Certains établissements bancaires sont passés à 60 jours. Les vendeurs et les acheteurs peuvent par ailleurs arriver à un accord, et en aviser l’établissement prêteur. Autre obstacle pour les demandes de certains emprunteurs : les taux sont repartis à la hausse au mois de mai. Durant le confinement, les banques ont en effet traité les dossiers sous formes d’accords de principe. Les accords définitifs se fondent sur les pièces originales du dossier qui peuvent, selon leur nature, impacter le taux définitif du crédit (de +0,30 à +0,50 % sur le taux annoncé avant le confinement).
Le présent article est rédigé par Labsense pour Boursorama. Cet article ne doit en aucun cas s'apparenter à un conseil en investissement ou une recommandation d'acheter, de vendre ou de continuer à détenir un investissement ou un placement. Boursorama ne saurait être tenu responsable d'une décision d'investissement ou de désinvestissement sur la base de cet article.
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